Notre rêve : un monde sans pauvreté (Devise de la Banque mondiale)
« Quant aux inégalités, je crois qu’on est obligé de reconnaître qu’elles ont augmenté au cours des vingt dernières années dans le monde en développement comme dans la plupart des pays industrialisés. Et plusieurs études tendent à montrer que l’ouverture au commerce international a joué un rôle dans cette évolution. (…) La question des privatisations des infrastructures que la Banque a recommandées pendant une période doit être regardée d’un œil neuf. Car nous nous rendons compte qu’elles n’ont pas toujours été bénéfiques pour les populations. »
François Bourguignon, économiste en chef à la Banque Mondiale, préface in « Bilan du monde », édition 2004, p. 11., cité in Serge Halimi, « Le grand bon en arrière », fayard, 2006.
mardi 29 janvier 2008
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